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mardi 17 décembre 2013 par hanougabel
Sur le sentier qui borde l’Arre capricieuse,
Oiseaux, fleurs et cailloux m’entretiennent de toi
Ma soeurette, et du ciel de ton regard si bleu.
Sur l’ombragé chemin où chacun de mes pas
M’amène vers ce lieu où jadis tu vécus,
Mon coeur te cherche en vain, ma Kitou qui n’est plus.
Tantôt colère soudaine, et tantôt désespoir,
Mon coeur oscille alors, si fragile équilibre,
Entre amère amertume et chagrin le plus noir.
Il est des heures claires, comme un baume invisible,
Durant lesquelles, un temps, je crois à ton retour.
Mais je tourne et je vire, seule avec mon amour.
Ouvrir les portes derrière lesquelles tu n’es pas,
Chercher l’issue du chagrin qui n’en finit pas...
Liliane Gabel (juin 2013)
fr Poétiquement vôtre Rimes pour un amour ?